LETTRE A TOUS LES CLERCS
Saint François avait, dans la lettre précédente, rappelé à tous les fidèles les exigences de leur baptême. A tous les clercs il rappelle maintenant l’un des devoirs de leur vocation : […]
Saint François avait, dans la lettre précédente, rappelé à tous les fidèles les exigences de leur baptême. A tous les clercs il rappelle maintenant l’un des devoirs de leur vocation : […]
Sur la foi d’un manuscrit, on l’appelait autrefois « Lettre au chapitre ». Mieux vaut cependant adopter une dénomination plus conforme à l’adresse de la lettre et à la tradition : « Lettre à […]
Cette lettre à un ministre – c’est-à-dire à un supérieur de l’Ordre – est un petit chef-d’œuvre de bonté et de réalisme à la fois. Elle est consacrée au problème des frères […]
On s’accorde à dater cette lettre de 1220 environ. François, de retour de Palestine où il avait été impressionné par le chant des muezzins, aurait voulu acclimater en Europe un signal de […]
Les destinataires sont les « custodes », c’est-à-dire tous les gardiens de fraternités du premier Ordre, les supérieurs locaux. Encore une lettre au contenu « eucharistique » : elle participe, avec les précédentes, à […]
Le parchemin qui contient cette lettre est conservé à la cathédrale de Spolète. C’est l’autographe, l’original écrit de la main même de saint François, avec des maladresses de graphie et […]
Des prières paraphrasées, où chaque groupe de mots reçoit son commentaire, le Moyen Age en a connu par centaines. On les appelait alors des prières tropées ou farcies. Saint François […]
L’autographe en est encore conservé au Sacro Convento d’Assise. Saint François l’écrivit pour chasser une tentation qui assaillait frère Léon (2 C 49). On peut le dater de septembre 1224. C’est […]
Voici une expression de la piété mariale de saint François. On y remarque qu’il affectionnait la forme du « Salut » courtois. Ses invocations révèlent la délicatesse de son amour filial. Il recourt […]
Thomas de Celano atteste l’authenticité de cet écrit, dont il transcrit même intégralement la phrase initiale (2 C 189). Il est à déplorer que la mélodie en soit perdue. Peut-être avons-nous […]